FAUST ET PSYCHE

POUR PSYCHE

 

Psyché, vous êtes ma pensée

Vous éleviez votre flambeau

Les hommes vous ont repoussée

Vous souriez comme un tombeau,

 

Psyché, vous êtes ma souffrance

Vous vous mourrez au vent d'Ailleurs

Vos yeux sont las de l'apparence

Et vacillants comme des fleurs

 

Et, Psyché, vous êtes mon rêve,

Ensemençant le ciel léger

De vos mépris pour l'heure brève

Qui dit que vivre est de changer.

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